La démarche de Pascale Klingelschmitt rend palpable l’invisible. En effet, aux questions diverses liées aux structures matérielles des organismes vivants, leur temporalité ou leur état de mutation, l’artiste répond avec des « matières dures » réunissant trois médiums autour d’installations ou de pièces uniques : la terre, le verre et la gravure. Afin de révéler l’intimité du vivant et des sciences, elle use des outils d’observation scientifiques comme le microscope ou l’imagerie médicale,nous amenant à repenser notre relation au corps.